Variation Goldberg : Le claveciniste Julien Wolfs enregistre sa version

Au clavecin ou devant le clavier d’un piano, s’il est un monument aussi attirant qu’effrayant pour l’interprète de l’oeuvre de Jean-Sébastien Bach, voici les Variations Goldberg, une aria et trente variations pour un peu moins d’une heure et demie de musique.

Après les avoir travaillé avec Menno van Deft, son professeur à Amsterdam, et les avoir jouées en concert au festival Musique et Mémoire (le festival baroque des Vosges du Sud), sans oublier le retour sur soi imposé par le confinement sanitaire de 2020, voici que le claveciniste Belge Julien Wolfs, aujourd’hui professeur au CRR de Besançon, propose son enregistrement des célébrissimes variations.

Du 27 novembre au 1er décembre à 10h, 16h et 22h, BFC Classique vous propose, en compagnie de l’artiste, de découvrir quelques plages de ce nouvel album enregistré à Besançon et publié sous le label Flora.

1) Quand l’envie s’impose

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Le Songe du Roi joue « les Scarlatti »

Poursuivant sa saison « Musique aux Cordeliers », l’ensemble Le Songe du Roi en grand effectif (choeur et petit orchestre) s’intéresse à la famille Scarlatti père (Alessandro) et fils (Domenico) à l’occasion de deux concerts proposés les 2 et 3 décembre dans l’ancienne chapelle du couvent des Cordeliers de Dijon, 5 rue Turgot.

En dépit du titre anglophone choisi par l’Ensemble : « Scarlatti and son », c’est bien de musique italienne dont il s’agit, donnant à entendre Salve Regina, Credo, Est dies trophaei, et autres sonates pour cordes, autant d’occasion de montrer l’extrême richesse d’écriture de ces deux grands compositeurs.

Echange avec le claveciniste Patrick Heilmann, créateur et directeur du Songe du Roi.

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Conversation Baroque à Cluny et Tournus

On connaissait l’ensemble La Ciaccona réuni autour de la flûtiste Emilie Volle, la voici avec un nouveau groupe intitulé « Esperluette & compagnie » pour 2 concerts à Cluny et Tournus (Saône-et-Loire) les 24 et 25 novembre.

On y retrouve sa complice habituelle, la violiste Isabelle Lubrano-Lavadera, mais aussi Frédéric Martin au violon baroque et Vincent de Meester au clavecin.

Si le programme de ces concerts sera exclusivement instrumental et passera par Bach, Telemann, Couperin, Haendel ou Jacquet de la Guerre, d’autres projets faisant appel à des chanteurs sont annoncés pour l’été.

Echange avec le claveciniste Vincent de Meester…

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4e festival Chouette du Piano ! à Dijon

C’est le 25 et 26 novembre que se tiendra la quatrième édition du festival « Chouette, du Piano » ! Organisé dans l’ancienne chapelle du couvent des Cordeliers à Dijon, 5 rue Turgot.

C’est le pianiste Roger Muraro qui ouvrira le Festival samedi 25 novembre avec un récital Scarlatti, Scriabine et Chopin.

Dès le lendemain matin, un autre pianiste, Hervé Billaut, proposera, sous le titre « Piano buissonnier » un parcours très personnel allant de Beethoven à Gershwin en passant par Chopin et Villa-Lobos.

Le dimanche après midi, musique de chambre avec Michaël et Nicolas Seigle dans un duo violon/violoncelle avant de rejoindre Catherine Namura au piano pour le 1er trio de Mendelssohn.

Echange avec Catherine Namura, initiatrice du festival…

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L’Orchestre Victor Hugo chante Mozart à Besançon

Après un concert américain avec du piano et un concert de jazz avec du saxophone, l’Orchestre Victor Hugo donnera, sous le titre « Amadeo », un concert mêlant Mozart et l’Italie avec le concours de la soprano Marianne Croux, vendredi 17 novembre au Théâtre Ledoux de Besançon.

Révélation lyrique 2017 de l’ADAMI et Gagnante du concours Reine Elisabeth en 2018, Marianne Croux chantera des extraits des Nozze di Figaro de Mozart, ainsi que les Deita Silvane de Respighi. Placé sous la direction de Jean-François Verdier, l’Orchestre terminera le concert par la Symphonie n° 41 de Mozart, plus connue sous le nom de « Symphonie Jupiter ».

Vous avez dit Mozart ? Echange avec le chef Jean-François Verdier, directeur musical de l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté depuis 2010.

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L’Opéra de Dijon donne trois représentations de Fidelio, seul opéra composé par Beethoven

Si l’œuvre symphonique de Beethoven est une évidence, son opéra « Fidelio » est souvent présent en concert limitée à la seule exécution de l’ouverture, ee pourtant…

Du 8 au 12 novembre, en coproduction avec l’Opéra Comique, l’Opéra de Nice Côte-d’Azur et le collectif MXM, l’Opéra de Dijon donne trois représentation de Fidelio dans une approche politique et résolument contemporaine.

Pour l’occasion, on mettra à contribution le chœurs « Maison », les enfants de la Maîtrise de Dijon et, en fosse, l’Orchestre Dijon-Bourgogne.

Côté solistes, Sinéad Campbell Wallace, Maximilian Schmitt, Martina Russomanno, Mischa Schelomianski, Aleksei Isaev, Edwin Crossley Mercer et Léo Vermot Desroches seront en plateau.

La direction musicale a été confiée à Adrien Perruchon, déjà venu à Dijon pour diriger Carmen en 2019.

Quitte à ébouriffer les traditionnalistes du genre, la surprise pourrait venir des options du metteur en scène : Cyril Teste qui souligne la contemporénéïté de l’œuvre dont l’action située à l’origine dans une prison espagnole se retrouve transposée dans un univers carcéral très américain où la vidéo est omniprésente.

Echange avec le Chef Adrien Perruchon…

Crédit photo : Stefan Brion

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Ensemble Gilles Binchois : Un rendez-vous de musique ancienne qui pourrait surprendre à Dijon

Pour son « rendez-vous de Musique ancienne » d’automne, les quatre musiciens réunis autour de Dominique Vellard pourraient bien surprendre les auditeurs du concert donné mercredi 8 novembre dans la Chapelle de la Chartreuse de Champmol, BD Chanoine Kir à Dijon.

Sous le titre  » Héritages « , l’Ensemble Gilles Binchois a décidé de nous présenter un projet  » né de l’envie de revisiter en famille les musiques qui nous ont nourris, celles qui ont été déterminantes dans nos choix, celles qui continuent de nous enthousiasmer.  »

Voici donc un concert où styles et siècles se mêlent, dialoguent et jouent ensemble  » une partition parfois iconoclaste, mais toujours réjouissante.  »

Si l’on chante en espagnol, en français, en latin, en grec,  en breton ou en italien, on n’hésite pas à élargir l’instrumentation jusqu’aux dispositifs électroniques.

Echange avec Dominique Vellard, créateur et directeur de l’Ensemble Gilles Binchois.

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Marcia Hadjimarkos joue Hélène de Montgeroult sur piano forte (5/5)

Sous le titre « Hélène de Montgeroult – Portrait d’une compositrice visionnaire », la pianiste d’origine américaine Marcia Hadjimarkos, installée en Saône-et-Loire, présente son nouveau CD, intégralement consacré à la Marquise Hélène de Montgeroult, premier enregistrement réalisé sur piano forte.

Redécouverte dans les années 2000, la musique d’Hélène de Montgeroult (1764-1836) fait preuve d’une inspiration et d’une modernité hors du commun et annonce les grands compositeurs Romantiques, nés pourtant 50 ans après elle. Si ses compositions ne cessent d’étonner musiciens et mélomanes, elles n’ont jamais été enregistrées sur un piano-forte français de son époque.

Marcia Hadjimarkos, spécialiste des instruments à clavier historiques, comble cette lacune en gravant un album sur un instrument parisien fabriqué par Antoine Neuhaus en 1817 et récemment restauré par Matthieu Vion.

C’est en compagnie de l’artiste que BFC Classique présente, jour après jour à 10h, 16h et 22h, cet album publié sous le label indépendant Seulétoile.

5) Une musique à défendre…

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Marcia Adjimarkos joue Hélène de Montgeroult sur piano forte (4/5)

Sous le titre « Hélène de Montgeroult – Portrait d’une compositrice visionnaire », la pianiste d’origine américaine Marcia Hadjimarkos, installée en Saône-et-Loire, présente son nouveau CD, intégralement consacré à la Marquise Hélène de Montgeroult, premier enregistrement réalisé sur piano forte.

Redécouverte dans les années 2000, la musique d’Hélène de Montgeroult (1764-1836) fait preuve d’une inspiration et d’une modernité hors du commun et annonce les grands compositeurs Romantiques, nés pourtant 50 ans après elle. Si ses compositions ne cessent d’étonner musiciens et mélomanes, elles n’ont jamais été enregistrées sur un piano-forte français de son époque.

Marcia Hadjimarkos, spécialiste des instruments à clavier historiques, comble cette lacune en gravant un album sur un instrument parisien fabriqué par Antoine Neuhaus en 1817 et récemment restauré par Matthieu Vion.

C’est en compagnie de l’artiste que BFC Classique présente, jour après jour à 10h, 16h et 22h, cet album publié sous le label indépendant Seulétoile.

4) L’enregistrement

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Marcia Hadjimarkos joue Hélène de Montgeroult sur piano forte (3/5)

Sous le titre « Hélène de Montgeroult – Portrait d’une compositrice visionnaire », la pianiste d’origine américaine Marcia Hadjimarkos, installée en Saône-et-Loire, présente son nouveau CD, intégralement consacré à la Marquise Hélène de Montgeroult, premier enregistrement réalisé sur piano forte.

Redécouverte dans les années 2000, la musique d’Hélène de Montgeroult (1764-1836) fait preuve d’une inspiration et d’une modernité hors du commun et annonce les grands compositeurs Romantiques, nés pourtant 50 ans après elle. Si ses compositions ne cessent d’étonner musiciens et mélomanes, elles n’ont jamais été enregistrées sur un piano-forte français de son époque.

Marcia Hadjimarkos, spécialiste des instruments à clavier historiques, comble cette lacune en gravant un album sur un instrument parisien fabriqué par Antoine Neuhaus en 1817 et récemment restauré par Matthieu Vion.

C’est en compagnie de l’artiste que BFC Classique présente, jour après jour à 10h, 16h et 22h, cet album publié sous le label indépendant Seulétoile.

3) Le piano forte et ses « registres »

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