Clair Obscur : le disque de Sandrine Piau avec l’OVHFC fait l’unanimité

Chacun y allant de son superlatif, distinction, label, sélection du mois, du jour ou de la semaine… la presse spécialisée ne tari pas d’éloges sur l’album enregistré à Besançon par la soprano Sandrine Piau avec l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté dirigé par Jean-François Verdier.

Le programme de ce nouveau CD nous amène à cheminer entre la froide forêt rhénane du Waldgespräch, ballade de Zemlinsky composée en 1895 pour soprano et petit ensemble, la nuit du premier des Sieben frühe Lieder de Berg (1905-1908), le soleil de Morgen de Richard Strauss, suivi des Quatre Derniers Lieder, composés en 1948, dont les deux premiers Frühling (le printemps) et September (l’automne) sont aussi « les saisons de la vie » pour reprendre les mots de Sandrine Piau.

En compagnie du chef Jean-François Verdier, BFC Classique, jour après jour, du 19 au 23 Avril, vous propose de découvrir cet enregistrement exceptionnel publié chez Alpha Classics à 10, 16 et 22 h.

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Officina Romana : 1er CD pour l’ensemble Le Stagioni 5/5

Après avoir enregistré en solo, le claveciniste Paolo Zanzu signe son 1er album à la tête de son ensemble Le Stagioni : « Officina Romana », avec le concours du contre-ténor Carlo Vistoli.

Pour l’occasion, les 14 musiciens nous entraînent dans la Rome du début du XVIIIe siècle. La ville est alors l’une des grandes capitales de la musique en Europe. En l’espace de quelques années se rencontrent là Corelli, Haendel, Alessandro et Domenico Scarlatti, Caldara ou Cesarini… entourés de peintres, sculpteurs, poètes et philosophes.

Paolo Zanzu imagine ainsi de recréer une soirée idéale (conversazione) sorte de réunion libérale tenue par de « beaux esprits » chez quelque cardinal ou haut dignitaire du lieu.

Le programme met en valeur le génie créateur (l’estro de l’époque) l’invention tant musicale que technique, en associant morceaux célèbres et inédits. Le pianoforte Cristofori, dont le cardinal Ottoboni possédait un exemplaire, y fait également son apparition.

Du 29 mars au 2 Avril, en compagnie de Paolo Zanzu, BFC Classique propose, jour après jour, une découverte de quelques plages de ce disque enregistré au Théâtre du Rempart de Semur en Auxois (Côte-d’Or) et publié par le label Arcana.

5) A découvrir : Nicola Francesco Haym

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Officina Romana : 1er CD pour l’ensemble Le Stagioni 4/5

Après avoir enregistré en solo, le claveciniste Paolo Zanzu signe son 1er album à la tête de son ensemble Le Stagioni : « Officina Romana », avec le concours du contre-ténor Carlo Vistoli.

Pour l’occasion, les 14 musiciens nous entraînent dans la Rome du début du XVIIIe siècle. La ville est alors l’une des grandes capitales de la musique en Europe. En l’espace de quelques années se rencontrent là Corelli, Haendel, Alessandro et Domenico Scarlatti, Caldara ou Cesarini… entourés de peintres, sculpteurs, poètes et philosophes.

Paolo Zanzu imagine ainsi de recréer une soirée idéale (conversazione) sorte de réunion libérale tenue par de « beaux esprits » chez quelque cardinal ou haut dignitaire du lieu.

Le programme met en valeur le génie créateur (l’estro de l’époque) l’invention tant musicale que technique, en associant morceaux célèbres et inédits. Le pianoforte Cristofori, dont le cardinal Ottoboni possédait un exemplaire, y fait également son apparition.

Du 29 mars au 2 Avril, en compagnie de Paolo Zanzu, BFC Classique propose, jour après jour, une découverte de quelques plages de ce disque enregistré au Théâtre du Rempart de Semur en Auxois (Côte-d’Or) et publié par le label Arcana.

4) à chacun son tour

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Officina Romana : 1er CD pour l’ensemble Le Stagioni 3/5

Après avoir enregistré en solo, le claveciniste Paolo Zanzu signe son 1er album à la tête de son ensemble Le Stagioni : « Officina Romana », avec le concours du contre-ténor Carlo Vistoli.

Pour l’occasion, les 14 musiciens nous entraînent dans la Rome du début du XVIIIe siècle. La ville est alors l’une des grandes capitales de la musique en Europe. En l’espace de quelques années se rencontrent là Corelli, Haendel, Alessandro et Domenico Scarlatti, Caldara ou Cesarini… entourés de peintres, sculpteurs, poètes et philosophes.

Paolo Zanzu imagine ainsi de recréer une soirée idéale (conversazione) sorte de réunion libérale tenue par de « beaux esprits » chez quelque cardinal ou haut dignitaire du lieu.

Le programme met en valeur le génie créateur (l’estro de l’époque) l’invention tant musicale que technique, en associant morceaux célèbres et inédits. Le pianoforte Cristofori, dont le cardinal Ottoboni possédait un exemplaire, y fait également son apparition.

Du 29 mars au 2 Avril, en compagnie de Paolo Zanzu, BFC Classique propose, jour après jour, une découverte de quelques plages de ce disque enregistré au Théâtre du Rempart de Semur en Auxois (Côte-d’Or) et publié par le label Arcana.

3) La voix

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Officina Romana : 1er CD pour l’ensemble Le Stagioni 2/5

Après avoir enregistré en solo, le claveciniste Paolo Zanzu signe son 1er album à la tête de son ensemble Le Stagioni : « Officina Romana », avec le concours du contre-ténor Carlo Vistoli.

Pour l’occasion, les 14 musiciens nous entraînent dans la Rome du début du XVIIIe siècle. La ville est alors l’une des grandes capitales de la musique en Europe. En l’espace de quelques années se rencontrent là Corelli, Haendel, Alessandro et Domenico Scarlatti, Caldara ou Cesarini… entourés de peintres, sculpteurs, poètes et philosophes.

Paolo Zanzu imagine ainsi de recréer une soirée idéale (conversazione) sorte de réunion libérale tenue par de « beaux esprits » chez quelque cardinal ou haut dignitaire du lieu.

Le programme met en valeur le génie créateur (l’estro de l’époque) l’invention tant musicale que technique, en associant morceaux célèbres et inédits. Le pianoforte Cristofori, dont le cardinal Ottoboni possédait un exemplaire, y fait également son apparition.

Du 29 mars au 2 Avril, en compagnie de Paolo Zanzu, BFC Classique propose, jour après jour, une découverte de quelques plages de ce disque enregistré au Théâtre du Rempart de Semur en Auxois (Côte-d’Or) et publié par le label Arcana.

2) Quand le « vivre ensemble » était musical

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Officina Romana : 1er CD pour l’ensemble Le Stagioni

Après avoir enregistré en solo, le claveciniste Paolo Zanzu signe son 1er album à la tête de son ensemble Le Stagioni : « Officina Romana », avec le concours du contre-ténor Carlo Vistoli.

Pour l’occasion, les 14 musiciens nous entraînent dans la Rome du début du XVIIIe siècle. La ville est alors l’une des grandes capitales de la musique en Europe. En l’espace de quelques années se rencontrent là Corelli, Haendel, Alessandro et Domenico Scarlatti, Caldara ou Cesarini… entourés de peintres, sculpteurs, poètes et philosophes.

Paolo Zanzu imagine ainsi de recréer une soirée idéale (conversazione) sorte de réunion libérale tenue par de « beaux esprits » chez quelque cardinal ou haut dignitaire du lieu.

Le programme met en valeur le génie créateur (l’estro de l’époque) l’invention tant musicale que technique, en associant morceaux célèbres et inédits. Le pianoforte Cristofori, dont le cardinal Ottoboni possédait un exemplaire, y fait également son apparition.

Du 29 mars au 2 Avril, en compagnie de Paolo Zanzu, BFC Classique propose, jour après jour, une découverte de quelques plages de ce disque enregistré au Théâtre du Rempart de Semur en Auxois (Côte-d’Or) et publié par le label Arcana.

1) Rome : richesse de la vie musicale au XVIIIe siècle

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Symphonie Bleu et Péchés capitaux sur un album de l’OVHFC 5/5

Sorti ce mois de Mars sous le label Indésens Records, voici un album qui rassemble 2 orchestres : l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté et l’Orchestre National de Bretagne.

2 orchestres pour 2 oeuvres mais un seul compositeur : le saxophoniste Guillaume Saint-James.

Que l’on ne s’y trompe pas, le « bleu » dont il est question dans la « Symphonie-Bleu » interprétée par l’OVHFC ne fait pas référence au bleu du ciel ou à tout autre bleu de rêve mais au « bleu de travail », c’est dire que Guillaume Saint-James nous entraîne dans 1 monde ouvrier pour lui rendre hommage à sa façon.

Interprétée par l’Orchestre National de Bretagne la suite « Sketches of seven » propose 7 pièces pour accordéon et orchestre faisant directement référence aux 7 « péchés capitaux ».

Jour après jour, du 22 au 26 Mars, visite d’un enregistrement haut en couleurs à 10, 16 et 22 h, avec Guillaume Saint-James dans un étonnant aller-retour entre jazz et musique symphonique, entre musique improvisée et musique écrite…

5) Bientôt en concert pour « jouer vraiment »

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Symphonie Bleu et Péchés capitaux sur un album de l’OVHFC 4/5

Sorti ce mois de Mars sous le label Indésens Records, voici un album qui rassemble 2 orchestres : l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté et l’Orchestre National de Bretagne.

2 orchestres pour 2 oeuvres mais un seul compositeur : le saxophoniste Guillaume Saint-James.

Que l’on ne s’y trompe pas, le « bleu » dont il est question dans la « Symphonie-Bleu » interprétée par l’OVHFC ne fait pas référence au bleu du ciel ou à tout autre bleu de rêve mais au « bleu de travail », c’est dire que Guillaume Saint-James nous entraîne dans 1 monde ouvrier pour lui rendre hommage à sa façon.

Interprétée par l’Orchestre National de Bretagne la suite « Sketches of seven » propose 7 pièces pour accordéon et orchestre faisant directement référence aux 7 « péchés capitaux ».

Jour après jour, du 22 au 26 Mars, visite d’un enregistrement haut en couleurs à 10, 16 et 22 h, avec Guillaume Saint-James dans un étonnant aller-retour entre jazz et musique symphonique, entre musique improvisée et musique écrite…

4) Faire l’unité malgré les différences

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Symphonie Bleu et Péchés capitaux sur un album de l’OVHFC 3/5

Sorti ce mois de Mars sous le label Indésens Records, voici un album qui rassemble 2 orchestres : l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté et l’Orchestre National de Bretagne.

2 orchestres pour 2 oeuvres mais un seul compositeur : le saxophoniste Guillaume Saint-James.

Que l’on ne s’y trompe pas, le « bleu » dont il est question dans la « Symphonie-Bleu » interprétée par l’OVHFC ne fait pas référence au bleu du ciel ou à tout autre bleu de rêve mais au « bleu de travail », c’est dire que Guillaume Saint-James nous entraîne dans 1 monde ouvrier pour lui rendre hommage à sa façon.

Interprétée par l’Orchestre National de Bretagne la suite « Sketches of seven » propose 7 pièces pour accordéon et orchestre faisant directement référence aux 7 « péchés capitaux ».

Jour après jour, du 22 au 26 Mars, visite d’un enregistrement haut en couleurs à 10, 16 et 22 h, avec Guillaume Saint-James dans un étonnant aller-retour entre jazz et musique symphonique, entre musique improvisée et musique écrite…

3) 1 accordéon pour la luxure

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Symphonie Bleu et Péchés capitaux sur un album de l’OVHFC 2/5

Sorti ce mois de Mars sous le label Indésens Records, voici un album qui rassemble 2 orchestres : l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté et l’Orchestre National de Bretagne.

2 orchestres pour 2 oeuvres mais un seul compositeur : le saxophoniste Guillaume Saint-James.

Que l’on ne s’y trompe pas, le « bleu » dont il est question dans la « Symphonie-Bleu » interprétée par l’OVHFC ne fait pas référence au bleu du ciel ou à tout autre bleu de rêve mais au « bleu de travail », c’est dire que Guillaume Saint-James nous entraîne dans 1 monde ouvrier pour lui rendre hommage à sa façon.

Interprétée par l’Orchestre National de Bretagne la suite « Sketches of seven » propose 7 pièces pour accordéon et orchestre faisant directement référence aux 7 « péchés capitaux ».

Jour après jour, du 22 au 26 Mars, visite d’un enregistrement haut en couleurs à 10, 16 et 22 h, avec Guillaume Saint-James dans un étonnant aller-retour entre jazz et musique symphonique, entre musique improvisée et musique écrite…

2) Une symphonie « ouvrière »

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