» Après quelques péripéties de dernière minute, le Festival de Musique Baroque du Jura retrouve ses marques « … Ainsi annonce-t-on le millésime 2022 du côté des organisateurs de l’un des plus anciens festivals de musique en Bourgogne-Franche-Comté.
Du 17 au 26 Juin, le Festival passera par Molinges, Saint-Lupicin, Saint-Claude, Moirans-en-Montagne, Lons-le-Saunier et Clairvaux-les-Lacs.
Quant aux participants au Festival, si le Grand William Christie et ses Arts Florissants viendront célébrer Monteverdi, c’est une version bien particulière de la « passion selon Saint-Jean » de Bach que proposera le Cortège d’Orphée venu de Besançon. En tout 6 concerts auxquels il convient d’ajouter rencontres et animations…
Pour sa dernière manifestation de la saison 2021-2022, l’association La Scène Fontainoise réuni les musiciens de l’Ensemble Orchestral de Dijon et 120 chanteurs de Bourgogne-Franche-Comté tous membres du Mouvement à Cœur Joie, samedi 11 et dimanche 12 Juin au Centre d’Animation Pierre Jacques de Fontaine-les-Dijon.
Le programme est consacré à Félix Mendelssohn dont on entendra les 3 premiers mouvements de la symphonie en si bémol majeur n° 2 et le psaume 42 pour cœur mixte, solistes et orchestre.
Après presque 2 ans sans rencontrer son public, l’ensemble vocal Le Tourdion, créé à Dole en 1978, revient à sa tradition des concerts de fin de printemps.
Vendredi 10 Juin à Dole et le dimanche suivant à Dijon, la quarantaine de chanteurs, accompagnés par un ensemble à cordes de 14 musiciens, donneront la « Sunrise Mas » du Norvégien Ola Gjeilo sous la direction de Florence Grandclément.
Avant cette messe « du soleil levant » plus humaniste que liturgique donnée en seconde partie du concert, les auditeurs de l’Eglise Saint-Jean de Dole et ceux de Sainte-Chantal à Dijon pourront entendre des pièces d’ Arvo Pärt, Van Berchem, Grzegorz Miśkiewicz.
Echange avec Charlotte Lecrenais, Présidente de l’association Le Tourdion.
Après interruption pour raisons sanitaires, l’association EX CATHEDRA propose la 4e édition de son Festival de Pentecôte avec 2 concerts de l’ensemble Les Galants Caprices dans le grand salon de l’Evéché d’Autun, en Saône-et-Loire.
Dimanche 5 Juin à 15 h, 8 instrumentistes feront entendre un programme tourné vers le concerto (Telemann, Quantz et Bach) dont le périlleux et magnifique 5e « Brandebourgeois…
Le lendemain à midi, un trio clavecin, flûte et ténor proposera des pièces de Schutz, Bach et Mozart faisant la part belle tant à la voix qu’aux instruments.
Echange avec Virginie Pillot, claveciniste et créatrice des Galants Caprices…
Après avoir donné, l’an passé, ce programme au Château de Bussy-Rabutin, en Côte-d’Or, l’ensemble de Judith Pacquier et Etienne Meyer présente, sur leur nouvel album, les madrigaux à 5 voix de Domenico Mazzocchi (1592-1665).
La vie et la carrière de Domenico Mazzocchi sont l’exemple même de la condition aisée et mondaine d’un musicien cultivé à Rome au 17è siècle. La protection des familles Aldrobrandini, Barberini, Pamphilij et Borghese lui vaut une réputation tenace de musicien dilettante, d’autodidacte ou d’amateur : si cette condition de gentilhuomo le tient en effet à l’abri des soucis financiers, s’il n’est attaché à aucune chapelle ou institution musicale, Domenico Mazzocchi n’en est pas moins un érudit, historien passionné par l’antiquité, un lettré et un musicien « poète » très attaché au choix de ses textes : Virgile, Pétrarque, Le Tasse…
Mazzocchi est également soucieux d’indiquer de façon très précise la manière d’interpréter ses œuvres : ces Madrigali à 5 datant de 1638 donnent de précieuses indications en matière de signes dynamiques, d’expression et de nuances. Mazzocchi est l’un des premiers à noter par les termes « cresc, dim, p ou f » au cœur de l’ouvrage. Il donne également une définition très utile des messa di voce, écho, trilli ou en harmonies et chromatismes.
Du 9 au 13 Mai, en compagnie de Judith Pacquier, directrice artistique des Traversées Baroques BFC Classique vous propose de découvrir quelques plages de ce CD publié par ACCENT et diffusé par Outhere Music.
Après avoir donné, l’an passé, ce programme au Château de Bussy-Rabutin, en Côte-d’Or, l’ensemble de Judith Pacquier et Etienne Meyer présente, sur leur nouvel album, les madrigaux à 5 voix de Domenico Mazzocchi (1592-1665).
La vie et la carrière de Domenico Mazzocchi sont l’exemple même de la condition aisée et mondaine d’un musicien cultivé à Rome au 17è siècle. La protection des familles Aldrobrandini, Barberini, Pamphilij et Borghese lui vaut une réputation tenace de musicien dilettante, d’autodidacte ou d’amateur : si cette condition de gentilhuomo le tient en effet à l’abri des soucis financiers, s’il n’est attaché à aucune chapelle ou institution musicale, Domenico Mazzocchi n’en est pas moins un érudit, historien passionné par l’antiquité, un lettré et un musicien « poète » très attaché au choix de ses textes : Virgile, Pétrarque, Le Tasse…
Mazzocchi est également soucieux d’indiquer de façon très précise la manière d’interpréter ses œuvres : ces Madrigali à 5 datant de 1638 donnent de précieuses indications en matière de signes dynamiques, d’expression et de nuances. Mazzocchi est l’un des premiers à noter par les termes « cresc, dim, p ou f » au cœur de l’ouvrage. Il donne également une définition très utile des messa di voce, écho, trilli ou en harmonies et chromatismes.
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Après avoir donné, l’an passé, ce programme au Château de Bussy-Rabutin, en Côte-d’Or, l’ensemble de Judith Pacquier et Etienne Meyer présente, sur leur nouvel album, les madrigaux à 5 voix de Domenico Mazzocchi (1592-1665).
La vie et la carrière de Domenico Mazzocchi sont l’exemple même de la condition aisée et mondaine d’un musicien cultivé à Rome au 17è siècle. La protection des familles Aldrobrandini, Barberini, Pamphilij et Borghese lui vaut une réputation tenace de musicien dilettante, d’autodidacte ou d’amateur : si cette condition de gentilhuomo le tient en effet à l’abri des soucis financiers, s’il n’est attaché à aucune chapelle ou institution musicale, Domenico Mazzocchi n’en est pas moins un érudit, historien passionné par l’antiquité, un lettré et un musicien « poète » très attaché au choix de ses textes : Virgile, Pétrarque, Le Tasse…
Mazzocchi est également soucieux d’indiquer de façon très précise la manière d’interpréter ses œuvres : ces Madrigali à 5 datant de 1638 donnent de précieuses indications en matière de signes dynamiques, d’expression et de nuances. Mazzocchi est l’un des premiers à noter par les termes « cresc, dim, p ou f » au cœur de l’ouvrage. Il donne également une définition très utile des messa di voce, écho, trilli ou en harmonies et chromatismes.
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Après avoir donné, l’an passé, ce programme au Château de Bussy-Rabutin, en Côte-d’Or, l’ensemble de Judith Pacquier et Etienne Meyer présente, sur leur nouvel album, les madrigaux à 5 voix de Domenico Mazzocchi (1592-1665).
La vie et la carrière de Domenico Mazzocchi sont l’exemple même de la condition aisée et mondaine d’un musicien cultivé à Rome au 17è siècle. La protection des familles Aldrobrandini, Barberini, Pamphilij et Borghese lui vaut une réputation tenace de musicien dilettante, d’autodidacte ou d’amateur : si cette condition de gentilhuomo le tient en effet à l’abri des soucis financiers, s’il n’est attaché à aucune chapelle ou institution musicale, Domenico Mazzocchi n’en est pas moins un érudit, historien passionné par l’antiquité, un lettré et un musicien « poète » très attaché au choix de ses textes : Virgile, Pétrarque, Le Tasse…
Mazzocchi est également soucieux d’indiquer de façon très précise la manière d’interpréter ses œuvres : ces Madrigali à 5 datant de 1638 donnent de précieuses indications en matière de signes dynamiques, d’expression et de nuances. Mazzocchi est l’un des premiers à noter par les termes « cresc, dim, p ou f » au cœur de l’ouvrage. Il donne également une définition très utile des messa di voce, écho, trilli ou en harmonies et chromatismes.
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Après avoir donné, l’an passé, ce programme au Château de Bussy-Rabutin, en Côte-d’Or, l’ensemble de Judith Pacquier et Etienne Meyer présente, sur leur nouvel album, les madrigaux à 5 voix de Domenico Mazzocchi (1592-1665).
La vie et la carrière de Domenico Mazzocchi sont l’exemple même de la condition aisée et mondaine d’un musicien cultivé à Rome au 17è siècle. La protection des familles Aldrobrandini, Barberini, Pamphilij et Borghese lui vaut une réputation tenace de musicien dilettante, d’autodidacte ou d’amateur : si cette condition de gentilhuomo le tient en effet à l’abri des soucis financiers, s’il n’est attaché à aucune chapelle ou institution musicale, Domenico Mazzocchi n’en est pas moins un érudit, historien passionné par l’antiquité, un lettré et un musicien « poète » très attaché au choix de ses textes : Virgile, Pétrarque, Le Tasse…
Mazzocchi est également soucieux d’indiquer de façon très précise la manière d’interpréter ses œuvres : ces Madrigali à 5 datant de 1638 donnent de précieuses indications en matière de signes dynamiques, d’expression et de nuances. Mazzocchi est l’un des premiers à noter par les termes « cresc, dim, p ou f » au cœur de l’ouvrage. Il donne également une définition très utile des messa di voce, écho, trilli ou en harmonies et chromatismes.
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Du 10 au 15 Mai, l’Opéra de Dijon donne 4 représentations de « Don Pasquale », de Gaetano Donizetti sur un livret de Giovanni Ruffini.
Avec l’Orchestre Dijon-Bourgogne et les choeurs de l’Opéra de Dijon, on pourra entendre les solistes qui doivent ici faire preuve de grandes qualités théâtrales en plu de leurs talents de chanteurs.
Don Pasquale : Laurent Naouri
Docteur Malatesta : André Morsch
Ernesto : Nico Darmanin
Norina : Melody Louledjian
Le Notaire : Jonas Yajure
La mise en scène de cette nouvelle production de l’Opéra de Dijon est confiée à Amélie Niermeyer et la direction musicale est placée sous la baguette de Debora Waldman qui (en ligne) a répondu aux questions de BFC Classique…