Nouvelle production de l’Opéra de Dijon : Vincent Dumestre dirige Armide de Lully

Pour sa nouvelle production, Dominique Pitoiset, directeur de l’Opéra de Dijon a fait appel à Vincent Dumestre et son Poème Harmonique pour donner trois représentations d’Armide, opéra de Jean-Baptiste Lully donné en 1686.

Pour ce spectacle qui rassemble quatre-vingts artistes, on a fait appel, outre les musiciens du Poème Harmonique, au danseuses et danseurs de la compagnie BeauxChamps, aux Choeurs de l’Opéra de Dijon (plus habitués à Verdi qu’au répertoire baroque) et à un ensemble de solistes dont certains ont déjà eu l’occasion d’interpréter le rôle qui leur est dévolu, ainsi Stéphanie d’Oustrac s’est déjà vue confier le rôle titre et Cyril Auvity connaît bien son personnage du « croisé » Renaud.

Quant au maître des lieux qui s’est chargé de la scénographie et de la mise en scène d’une oeuvre qu’il qualifie tour à tour de « fable scandaleuse » ou d' »ouvrage fascinant et détestable »… il ne cache pas son peu de sympathie pour le règne de Louis XIV, monarque absolu à qui Lully et son librettiste Quinault avaient d’abord la volonté de servir et de plaire.

La réalisation de cette entreprise d’envergure étant le fruit d’une coproduction entre l’Opéra de Dijon et l’Opéra Royal Château de Versailles Spectacles, cet Armide version Dumestre et Pitoiset connaîtra d’autres représentations au-dela de l’Auditorium dijonnais, à commencer par le plateau de l’Opéra Royal de Versailles et un enregistrement sur disque.

Du dialogue enrichissant entre des acteurs aux univers artistiques différents au plaisir de diriger une oeuvre aussi difficile qu’aboutie, échange avec Vincent Dumestre, fondateur et directeur du Poème Harmonique

Représentations : mardi 25, jeudi 27 et samedi 29 avril à 20h.

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sara chenal : premier disque en solo pour la violoniste (5/5)

Violoniste, professeur au CRR de Dijon et un rien performeuse, Sara Chenal consacre son premier album en solo aux compositeurs qui ont écrit pour elle, d’où le sous-titre du disque : « Pièces dédiées ».

Même si le spectacle qui a précédé cet enregistrement portait pour titre « La violoniste qui croyait rêver » c’est une musicienne bien présente qui occupe toutes les plages de ce CD, n’hésitant pas à donner de la voix, à pousser son instrument jusqu’à ses limites ou à faire appel aux possibilités ouvertes par l’électroacoustique. A retenir pour la plupart d’entre nous l’occasion de découvrir des compositeurs dont les noms ne nous sont pas encore familiers : Atanas Ourkouzounov, Graciane Finzi, Gilbert Clamens, Renaud Desbazeille ou Pascale Jakubowski.

Du 10 au 14 avril en compagnie de l’artiste, BFC Classique vous propose de découvrir quelques plages de ce CD réalisé par le label Skarbo dont on reconnaîtra les options de prise de son caractéristiques…

5) Rien renier, rien s’interdire… en musique !

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sara chenal : premier disque en solo pour la violoniste (4/5)

Violoniste, professeur au CRR de Dijon et un rien performeuse, Sara Chenal consacre son premier album en solo aux compositeurs qui ont écrit pour elle, d’où le sous-titre du disque : « Pièces dédiées ».

Même si le spectacle qui a précédé cet enregistrement portait pour titre « La violoniste qui croyait rêver » c’est une musicienne bien présente qui occupe toutes les plages de ce CD, n’hésitant pas à donner de la voix, à pousser son instrument jusqu’à ses limites ou à faire appel aux possibilités ouvertes par l’électroacoustique. A retenir pour la plupart d’entre nous l’occasion de découvrir des compositeurs dont les noms ne nous sont pas encore familiers : Atanas Ourkouzounov, Graciane Finzi, Gilbert Clamens, Renaud Desbazeille ou Pascale Jakubowski.

Du 10 au 14 avril en compagnie de l’artiste, BFC Classique vous propose de découvrir quelques plages de ce CD réalisé par le label Skarbo dont on reconnaîtra les options de prise de son caractéristiques…

4) Avec un peu d’électronique ?

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Sara Chenal : premier disque en solo pour la violoniste (3/5)

Violoniste, professeur au CRR de Dijon et un rien performeuse, Sara Chenal consacre son premier album en solo aux compositeurs qui ont écrit pour elle, d’où le sous-titre du disque : « Pièces dédiées ».

Même si le spectacle qui a précédé cet enregistrement portait pour titre « La violoniste qui croyait rêver » c’est une musicienne bien présente qui occupe toutes les plages de ce CD, n’hésitant pas à donner de la voix, à pousser son instrument jusqu’à ses limites ou à faire appel aux possibilités ouvertes par l’électroacoustique. A retenir pour la plupart d’entre nous l’occasion de découvrir des compositeurs dont les noms ne nous sont pas encore familiers : Atanas Ourkouzounov, Graciane Finzi, Gilbert Clamens, Renaud Desbazeille ou Pascale Jakubowski.

Du 10 au 14 avril en compagnie de l’artiste, BFC Classique vous propose de découvrir quelques plages de ce CD réalisé par le label Skarbo dont on reconnaîtra les options de prise de son caractéristiques…

3) Musique contemporaine mais pas sans racines

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Sara Chenal : premier disque en solo pour la violoniste (2/5)

Violoniste, professeur au CRR de Dijon et un rien performeuse, Sara Chenal consacre son premier album en solo aux compositeurs qui ont écrit pour elle, d’où le sous-titre du disque : « Pièces dédiées ».

Même si le spectacle qui a précédé cet enregistrement portait pour titre « La violoniste qui croyait rêver » c’est une musicienne bien présente qui occupe toutes les plages de ce CD, n’hésitant pas à donner de la voix, à pousser son instrument jusqu’à ses limites ou à faire appel aux possibilités ouvertes par l’électroacoustique. A retenir pour la plupart d’entre nous l’occasion de découvrir des compositeurs dont les noms ne nous sont pas encore familiers : Atanas Ourkouzounov, Graciane Finzi, Gilbert Clamens, Renaud Desbazeille ou Pascale Jakubowski.

Du 10 au 14 avril en compagnie de l’artiste, BFC Classique vous propose de découvrir quelques plages de ce CD réalisé par le label Skarbo dont on reconnaîtra les options de prise de son caractéristiques…

2) Jouer, parler, crier…

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Sara Chenal : premier disque en solo pour la violoniste

Violoniste, professeur au CRR de Dijon et un rien performeuse, Sara Chenal consacre son premier album en solo aux compositeurs qui ont écrit pour elle, d’où le sous-titre du disque : « Pièces dédiées ».

Même si le spectacle qui a précédé cet enregistrement portait pour titre « La violoniste qui croyait rêver » c’est une musicienne bien présente qui occupe toutes les plages de ce CD, n’hésitant pas à donner de la voix, à pousser son instrument jusqu’à ses limites ou à faire appel aux possibilités ouvertes par l’électroacoustique. A retenir pour la plupart d’entre nous l’occasion de découvrir des compositeurs dont les noms ne nous sont pas encore familiers : Atanas Ourkouzounov, Graciane Finzi, Gilbert Clamens, Renaud Desbazeille ou Pascale Jakubowski.

Du 10 au 14 avril en compagnie de l’artiste, BFC Classique vous propose de découvrir quelques plages de ce CD réalisé par le label Skarbo dont on reconnaîtra les options de prise de son caractéristiques…

1) Une musique résolument contemporaine.

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Orchestre Victor Hugo : un programme Adèle H. et Hector B.

On connaît essentiellement le personnage d’Adèle Hugo, fille de Victor, à travers le film que lui consacra François Truffaut. On sait qu’elle était pianiste, mais qui connaît la compositrice?

L’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté propose la création mondiale de ses Mélodies le 31 mars au Théâtre Ledoux de Besançon et le dimanche 2 avril à la Commanderie de Dole.

Adèle Hugo va ainsi s’ajouter à la liste des compositrices que l’Orchestre Victor Hugo s’engage à faire connaître depuis de nombreuses saisons, rejoignant ainsi Alma Mahler, Lili Boulanger, Fanny Mendelssohn, Clara Schumann ou encore Charlotte Sohy.

Adèle Hugo fait partie de ces femmes qui ont composé en secret. En exil avec son père sur l’île de Guernesey, elle se met à écrire, jardiner et jouer du piano pour tromper son ennui. La musique devient un refuge, la composition un moyen d’expression. Pourtant, elle ne parviendra jamais à faire publier ses mélodies et finira sa vie en France, internée en maison de santé. Il faudra attendre 2004 pour que le compositeur franco-suisse Richard Dubugnon découvre ses partitions dans une malle à Hauteville House, sur l’île de Guernesey, et demande la copie des manuscrits. C’est alors que commence un long travail qui trouve son aboutissement avec ces deux concerts dont le programme associera aussi la musique d’Hector Berlioz.

Autre prolongement de l’aventure : l’enregistrement prochain d’un disque consacré aux mélodies ressuscitées avec, aux côtés de l’Ovhfc et de son chef, Jean-François Verdier, un bel éventail de solistes et le Choeur de l’Opéra de Dijon.

Récit de cette véritable « croisade » entreprise par Richard Dubugnon par son acteur principal…

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Anne Queffélec joue Mozart avec l’Orchestre Dijon-Bourgogne

Pour son dixième anniversaire, les Musicales en Folie, organisées du 31 mars au 2 avril par l’association La Scène Fontainoise, se devaient d’accueillir un concert de prestige; ce sera fait vendredi 31 mars avec le concert donné par la pianiste Anne Queffélec (marraine du festival), et l’Orchestre Dijon-Bourgogne.

Un programme Mozart, avec le concerto n° 20 en ré mineur K466 pour piano et orchestre et la symphonie n° 40 en sol mineur K550.

Echange avec Joseph Bastian, chef principal de l’Orchestre Dijon-Bourgogne, qui dirigera le concert…

Toutes les manifestations du festival ont lieu au Centre d’Animation Pierre Jacques, 2 rue du Général de Gaulle à Fontaine-les-Dijon

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Le pianiste François Cornu à Charnay-les-Macon

Pour son concert de printemps, la Ville de Charnay-les-Macon, en Saône-et-Loire a invité le pianiste François Cornu, dimanche 26 mars à l’Espace La Verchère.

Si la première partie du récital permettra d’entendre des pièces de Rameau, Schubert et Debussy, la seconde partie sera intégralement consacrée à Frédéric Chopin, reflet de son tout dernier album (Nocturnes, Valses, la 1ère polonaise et le 2e Scherzo).

Au-delà du pianiste, échange avec un musicien amoureux de l’échange et du partage…

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Avec son ensemble Alkymia, Mariana Delgadillo participe au festival ELLES CHANTENT, COMPOSENT, DIRIGENT

Musicienne, chercheuse, pédagogue (elle enseigne entre autres au Conservatoire du Grand-Chalon)… Mariana Delgadillo sera en concert avec Alkymia, ensemble créé en 2014, samedi 11 mars en l’Eglise de Brosses (Yonne) dans le cadre du festival Elles chantent, composent, dirigent.

Titre du spectacle : « Sucreries » mais ne nous y trompons pas, il s’agit d’un jeu de mots bien franco-français, pas question ici de friandise et encore moins de guimauve…

« Sucreries », Y se va la segunda ! » propose une sorte d’alchimie (alkymia) produit de la rencontre entre musique baroque et traditionnelle de la ville de Sucre en Bolivie.

À l’image des festivités religieuses en Bolivie où le mélange fastueux du sacré et du païen est au service des célébrations, « Sucreries : Y se va la segunda ! » illustre le syncrétisme d’un patrimoine et de sa réappropriation, une juxtaposition d’éléments musicaux qui cohabitent et persistent dans la conscience collective des boliviens depuis les XVIIe et XVIIIe siècles, à l’époque où la ville s’appelait encore La Plata.

Echange avec Mariana Delgadillo qui, après le concert de Brosses, reviendra à la fin du Festival pour diriger un stage organisé à la Saline Royale d’Arc-et-Senans.

Illustrations musicales fournies par l’artiste.

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