sara chenal : premier disque en solo pour la violoniste (4/5)

Violoniste, professeur au CRR de Dijon et un rien performeuse, Sara Chenal consacre son premier album en solo aux compositeurs qui ont écrit pour elle, d’où le sous-titre du disque : « Pièces dédiées ».

Même si le spectacle qui a précédé cet enregistrement portait pour titre « La violoniste qui croyait rêver » c’est une musicienne bien présente qui occupe toutes les plages de ce CD, n’hésitant pas à donner de la voix, à pousser son instrument jusqu’à ses limites ou à faire appel aux possibilités ouvertes par l’électroacoustique. A retenir pour la plupart d’entre nous l’occasion de découvrir des compositeurs dont les noms ne nous sont pas encore familiers : Atanas Ourkouzounov, Graciane Finzi, Gilbert Clamens, Renaud Desbazeille ou Pascale Jakubowski.

Du 10 au 14 avril en compagnie de l’artiste, BFC Classique vous propose de découvrir quelques plages de ce CD réalisé par le label Skarbo dont on reconnaîtra les options de prise de son caractéristiques…

4) Avec un peu d’électronique ?

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Sara Chenal : premier disque en solo pour la violoniste (3/5)

Violoniste, professeur au CRR de Dijon et un rien performeuse, Sara Chenal consacre son premier album en solo aux compositeurs qui ont écrit pour elle, d’où le sous-titre du disque : « Pièces dédiées ».

Même si le spectacle qui a précédé cet enregistrement portait pour titre « La violoniste qui croyait rêver » c’est une musicienne bien présente qui occupe toutes les plages de ce CD, n’hésitant pas à donner de la voix, à pousser son instrument jusqu’à ses limites ou à faire appel aux possibilités ouvertes par l’électroacoustique. A retenir pour la plupart d’entre nous l’occasion de découvrir des compositeurs dont les noms ne nous sont pas encore familiers : Atanas Ourkouzounov, Graciane Finzi, Gilbert Clamens, Renaud Desbazeille ou Pascale Jakubowski.

Du 10 au 14 avril en compagnie de l’artiste, BFC Classique vous propose de découvrir quelques plages de ce CD réalisé par le label Skarbo dont on reconnaîtra les options de prise de son caractéristiques…

3) Musique contemporaine mais pas sans racines

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Sara Chenal : premier disque en solo pour la violoniste (2/5)

Violoniste, professeur au CRR de Dijon et un rien performeuse, Sara Chenal consacre son premier album en solo aux compositeurs qui ont écrit pour elle, d’où le sous-titre du disque : « Pièces dédiées ».

Même si le spectacle qui a précédé cet enregistrement portait pour titre « La violoniste qui croyait rêver » c’est une musicienne bien présente qui occupe toutes les plages de ce CD, n’hésitant pas à donner de la voix, à pousser son instrument jusqu’à ses limites ou à faire appel aux possibilités ouvertes par l’électroacoustique. A retenir pour la plupart d’entre nous l’occasion de découvrir des compositeurs dont les noms ne nous sont pas encore familiers : Atanas Ourkouzounov, Graciane Finzi, Gilbert Clamens, Renaud Desbazeille ou Pascale Jakubowski.

Du 10 au 14 avril en compagnie de l’artiste, BFC Classique vous propose de découvrir quelques plages de ce CD réalisé par le label Skarbo dont on reconnaîtra les options de prise de son caractéristiques…

2) Jouer, parler, crier…

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Sara Chenal : premier disque en solo pour la violoniste

Violoniste, professeur au CRR de Dijon et un rien performeuse, Sara Chenal consacre son premier album en solo aux compositeurs qui ont écrit pour elle, d’où le sous-titre du disque : « Pièces dédiées ».

Même si le spectacle qui a précédé cet enregistrement portait pour titre « La violoniste qui croyait rêver » c’est une musicienne bien présente qui occupe toutes les plages de ce CD, n’hésitant pas à donner de la voix, à pousser son instrument jusqu’à ses limites ou à faire appel aux possibilités ouvertes par l’électroacoustique. A retenir pour la plupart d’entre nous l’occasion de découvrir des compositeurs dont les noms ne nous sont pas encore familiers : Atanas Ourkouzounov, Graciane Finzi, Gilbert Clamens, Renaud Desbazeille ou Pascale Jakubowski.

Du 10 au 14 avril en compagnie de l’artiste, BFC Classique vous propose de découvrir quelques plages de ce CD réalisé par le label Skarbo dont on reconnaîtra les options de prise de son caractéristiques…

1) Une musique résolument contemporaine.

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Symphonic Blues Project : 16e disque de l’Orchestre Victor Hugo (5/5)

Avec ce nouvel album, le chef Jean-François Verdier emmène l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté sur un terrain où l’on n’attend pas nécessairement un orchestre symphonique : celui du blues. Pour l’occasion, l’ensemble bisontin se voit rejoint par le groupe Awek, d’authentiques blues men « made in Toulouse ».

Cette nouvelle aventure musicale s’enracine dans l’histoire personnelle du Chef, lorsqu’il découvre la musique de William Russo en face B d’un « 33 tours » consacré au « Westside Story » de Berstein et dirigé par Seiji Ozawa.

Au-delà de la redécouvertes des musiques composées par Bill Russo il y a un peu plus de cinquante ans et qui connurent le succès, Jean-François Verdier a voulu aller au-delà en demandant à Thierry Maillard, « jazzman, connaisseur de Zappa, de Bartók et des orchestres classiques, de composer dans le même esprit »…

Du 3 au 7 avril, BFC Classique vous propose de découvrir quelques plages de ce nouvel enregistrement publié sous le label Indésens en compagnie de Jean-François Verdier à 10, 16 et 22 h…

5) Et après

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Symphonic Blues Project : 16e disque de l’Orchestre Victor Hugo (4/5)

Avec ce nouvel album, le chef Jean-François Verdier emmène l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté sur un terrain où l’on n’attend pas nécessairement un orchestre symphonique : celui du blues. Pour l’occasion, l’ensemble bisontin se voit rejoint par le groupe Awek, d’authentiques blues men « made in Toulouse ».

Cette nouvelle aventure musicale s’enracine dans l’histoire personnelle du Chef, lorsqu’il découvre la musique de William Russo en face B d’un « 33 tours » consacré au « Westside Story » de Berstein et dirigé par Seiji Ozawa.

Au-delà de la redécouvertes des musiques composées par Bill Russo il y a un peu plus de cinquante ans et qui connurent le succès, Jean-François Verdier a voulu aller au-delà en demandant à Thierry Maillard, « jazzman, connaisseur de Zappa, de Bartók et des orchestres classiques, de composer dans le même esprit »…

Du 3 au 7 avril, BFC Classique vous propose de découvrir quelques plages de ce nouvel enregistrement publié sous le label Indésens en compagnie de Jean-François Verdier à 10, 16 et 22 h…

4) Un enregistrement par étapes

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Symphonic Blues Project : 16e disque de l’Orchestre Victor Hugo (3/5)

Avec ce nouvel album, le chef Jean-François Verdier emmène l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté sur un terrain où l’on n’attend pas nécessairement un orchestre symphonique : celui du blues. Pour l’occasion, l’ensemble bisontin se voit rejoint par le groupe Awek, d’authentiques blues men « made in Toulouse ».

Cette nouvelle aventure musicale s’enracine dans l’histoire personnelle du Chef, lorsqu’il découvre la musique de William Russo en face B d’un « 33 tours » consacré au « Westside Story » de Berstein et dirigé par Seiji Ozawa.

Au-delà de la redécouvertes des musiques composées par Bill Russo il y a un peu plus de cinquante ans et qui connurent le succès, Jean-François Verdier a voulu aller au-delà en demandant à Thierry Maillard, « jazzman, connaisseur de Zappa, de Bartók et des orchestres classiques, de composer dans le même esprit »…

Du 3 au 7 avril, BFC Classique vous propose de découvrir quelques plages de ce nouvel enregistrement publié sous le label Indésens en compagnie de Jean-François Verdier à 10, 16 et 22 h…

3) Thierry Maillard : un aventurier de la musique

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Symphonic Blues Project : 16e disque de l’Orchestre Victor Hugo (2/5)

Avec ce nouvel album, le chef Jean-François Verdier emmène l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté sur un terrain où l’on n’attend pas nécessairement un orchestre symphonique : celui du blues. Pour l’occasion, l’ensemble bisontin se voit rejoint par le groupe Awek, d’authentiques blues men « made in Toulouse ».

Cette nouvelle aventure musicale s’enracine dans l’histoire personnelle du Chef, lorsqu’il découvre la musique de William Russo en face B d’un « 33 tours » consacré au « Westside Story » de Berstein et dirigé par Seiji Ozawa.

Au-delà de la redécouvertes des musiques composées par Bill Russo il y a un peu plus de cinquante ans et qui connurent le succès, Jean-François Verdier a voulu aller au-delà en demandant à Thierry Maillard, « jazzman, connaisseur de Zappa, de Bartók et des orchestres classiques, de composer dans le même esprit »…

Du 3 au 7 avril, BFC Classique vous propose de découvrir quelques plages de ce nouvel enregistrement publié sous le label Indésens en compagnie de Jean-François Verdier à 10, 16 et 22 h…

2) Bill et Seiji

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Symphonic Blues Project : 16e disque de l’Orchestre Victor Hugo

Avec ce nouvel album, le chef Jean-François Verdier emmène l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté sur un terrain où l’on n’attend pas nécessairement un orchestre symphonique : celui du blues. Pour l’occasion, l’ensemble bisontin se voit rejoint par le groupe Awek, d’authentiques blues men « made in Toulouse ».

Cette nouvelle aventure musicale s’enracine dans l’histoire personnelle du Chef, lorsqu’il découvre la musique de William Russo en face B d’un « 33 tours » consacré au « Westside Story » de Berstein et dirigé par Seiji Ozawa.

Au-delà de la redécouvertes des musiques composées par Bill Russo il y a un peu plus de cinquante ans et qui connurent le succès, Jean-François Verdier a voulu aller au-delà en demandant à Thierry Maillard, « jazzman, connaisseur de Zappa, de Bartók et des orchestres classiques, de composer dans le même esprit »…

Du 3 au 7 avril, BFC Classique vous propose de découvrir quelques plages de ce nouvel enregistrement publié sous le label Indésens en compagnie de Jean-François Verdier à 10, 16 et 22 h…

1) Souvenir d’adolescence

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Orchestre Victor Hugo : un programme Adèle H. et Hector B.

On connaît essentiellement le personnage d’Adèle Hugo, fille de Victor, à travers le film que lui consacra François Truffaut. On sait qu’elle était pianiste, mais qui connaît la compositrice?

L’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté propose la création mondiale de ses Mélodies le 31 mars au Théâtre Ledoux de Besançon et le dimanche 2 avril à la Commanderie de Dole.

Adèle Hugo va ainsi s’ajouter à la liste des compositrices que l’Orchestre Victor Hugo s’engage à faire connaître depuis de nombreuses saisons, rejoignant ainsi Alma Mahler, Lili Boulanger, Fanny Mendelssohn, Clara Schumann ou encore Charlotte Sohy.

Adèle Hugo fait partie de ces femmes qui ont composé en secret. En exil avec son père sur l’île de Guernesey, elle se met à écrire, jardiner et jouer du piano pour tromper son ennui. La musique devient un refuge, la composition un moyen d’expression. Pourtant, elle ne parviendra jamais à faire publier ses mélodies et finira sa vie en France, internée en maison de santé. Il faudra attendre 2004 pour que le compositeur franco-suisse Richard Dubugnon découvre ses partitions dans une malle à Hauteville House, sur l’île de Guernesey, et demande la copie des manuscrits. C’est alors que commence un long travail qui trouve son aboutissement avec ces deux concerts dont le programme associera aussi la musique d’Hector Berlioz.

Autre prolongement de l’aventure : l’enregistrement prochain d’un disque consacré aux mélodies ressuscitées avec, aux côtés de l’Ovhfc et de son chef, Jean-François Verdier, un bel éventail de solistes et le Choeur de l’Opéra de Dijon.

Récit de cette véritable « croisade » entreprise par Richard Dubugnon par son acteur principal…

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