Joués ensemble depuis 130 ans, « Cavalleria rusticana », de Pietro Mascagni et « Pagliacci », de Ruggero Leoncavallo sont à l’affiche de l’Opéra de Dijon pour trois représentations les 5, 7 et 9 novembre, dans une mise en scène de Silvia Paoli et sous la baguette de Debora Waldman.
Pour l’occasion, avec l’Orchestre Dijon-Bourgogne on réunira le choeur de l’Opéra de Dijon, celui de Montpellier, la Maîtrise de Dijon et une dizaine de solistes et danseurs.
Avec ces deux pièces courtes (du moins à l’échelle du genre opéra), nous voici entraînés dans un village sicilien où l’amour, la jalousie et l’honneur se jouent à couteaux tirés et où la frontière entre théâtre et réalité révèle sa porosité.
Quand une musique dite « légère » par certains se révèle géniale et quand le réalisme de l’opéra italien des années 1890 rejoint les préoccupations d’aujourd’hui, échange avec Debora Waldman, Cheffe Associée à l’Opéra de Dijon


