Thierry Caens joue les plus grandes BO du cinéma français 4/5

On le savait trompettiste, professeur, arrangeur, directeur artistique, gourmand… Avec son dernier album « Thierry Caens joue Cyrano », le musicien se révèle aussi passionné de cinéma.

Avec les plus grands noms des compositeurs de musiques de films de la fin du XXe au début du XXIe siècle, cet album est une promenade rétrospective libre et sentimentale ou Thierry Caens, avec sa trompette, raconte quinze images de Son Cinéma.

Du 2 au 6 octobre en compagnie de l’artiste, BFC Classique vous propose de découvrir quelques plages de cet album publié sous le label Indesens, à 10h, 16h et 22h.

4) Un trompettiste, un orchestre, un chef, des invités…

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Thierry Caens joue les plus grandes BO du cinéma français 3/5

On le savait trompettiste, professeur, arrangeur, directeur artistique, gourmand… Avec son dernier album « Thierry Caens joue Cyrano », le musicien se révèle aussi passionné de cinéma.

Avec les plus grands noms des compositeurs de musiques de films de la fin du XXe au début du XXIe siècle, cet album est une promenade rétrospective libre et sentimentale ou Thierry Caens, avec sa trompette, raconte quinze images de Son Cinéma.

Du 2 au 6 octobre en compagnie de l’artiste, BFC Classique vous propose de découvrir quelques plages de cet album publié sous le label Indesens, à 10h, 16h et 22h.

3) Le musicien de studio

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Thierry Caens joue les grandes BO du cinéma français 2/5

On le savait trompettiste, professeur, arrangeur, directeur artistique, gourmand… Avec son dernier album « Thierry Caens joue Cyrano », le musicien se révèle aussi passionné de cinéma.

Avec les plus grands noms des compositeurs de musiques de films de la fin du XXe au début du XXIe siècle, cet album est une promenade rétrospective libre et sentimentale ou Thierry Caens, avec sa trompette, raconte quinze images de Son Cinéma.

Du 2 au 6 octobre en compagnie de l’artiste, BFC Classique vous propose de découvrir quelques plages de cet album publié sous le label Indesens, à 10h, 16h et 22h.

2) Musique classique et variétés

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Thierry Caens joue les grandes BO du cinéma français

On le savait trompettiste, professeur, arrangeur, directeur artistique, gourmand… Avec son dernier album « Thierry Caens joue Cyrano », le musicien se révèle aussi passionné de cinéma.

Avec les plus grands noms des compositeurs de musiques de films de la fin du XXe au début du XXIe siècle, cet album est une promenade rétrospective libre et sentimentale ou Thierry Caens, avec sa trompette, raconte quinze images de Son Cinéma.

Du 2 au 6 octobre en compagnie de l’artiste, BFC Classique vous propose de découvrir quelques plages de cet album publié sous le label Indesens, à 10h, 16h et 22h.

1) Au commencement était Cyrano

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Participatif et pédagogique, le récital d’orgue se réinvente : le « Wunschkonzert »

A la faveur d’une fin d’après-midi de dimanche, nous avons tous franchi la porte d’une église pour écouter l’orgue du lieu, n’ayant en main que la petite feuille du programme distribuée à l’entrée…

Le moment venu, la musique d’en haut envahi tout l’espace, s’arrêtant de temps à autre pour laisser place à quelques applaudissements, au grincement d’une chaise sur le sol ou au babillement d’un bébé qui se demande ce qu’il fait là…

Imaginez maintenant qu’arrivé devant ses claviers, l’organiste se présente et annonce qu’il vous a préparé un assortiment de vingt morceaux de choix de Jean-Sébastien Bach mais que, pour éviter à tous un festin indigeste, au moins par sa durée, vous allez devoir choisir après vous être remis quelques échantillons dans l’oreille.

C’est à peu près ce que va proposer l’organiste alsacien Francis Jacob dimanche 24 septembre à 18h dans l’église Saint Aignan de Gevrey-Chambertin, en Côte-d’Or. Après avoir choisi « Les 20 plus belles pièces d’orgue de JS Bach », Francis Jacob les a réparti en 4 familles, selon leur caractère dramatique, émouvant, joyeux ou inventif. Après quelques mesures de chacune des oeuvres, catégorie par catégorie, à vous de voter à main levée et que la meilleure musique gagne…

Pour mieux comprendre, nous avons appelé l’organiste, exemples à l’appui…

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L’ensemble Obsidienne fête ses 30 ans à la Cité de la Voix de Vézelay

Sous le titre « Bon Jour Sieur Guillaume », l’ensemble Obsidienne, en résidence à Sens, dans l’Yonne, fête son 30e anniversaire à la La Cité de la Voix de Vézelay, du vendredi 22 au dimanche 24 septembre.

Le Sieur Guillaume n’est autre que le poète et compositeur français Guillaume de Machaut, né probablement vers 1300 et mort à Reims en 1377. C’est ce « génie » du Moyen-Age qui sera fil conducteur de ces trois jours anniversaires avec des concerts, un bal, des conférences et même un « atelier cuisine » médiévale…

Echange avec Emmanuel Bonnardot, directeur artistique de l’ensemble Obsidienne

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Les Traversées Baroques jouent Marc-Antonio Ziani au Château de Bussy-Rabutin

Une nouvelle fois, Judith Pacquier et Etienne Meyer nous présentent leur dernière trouvaille : « La vinta morte… », de Marc-Antonio Ziani (1653-1715), au Château de Bussy-Rabutin samedi 16 septembre, à l’occasion des Journées Européennes du Patrimoine.

« La mort vaincue sur le calvaire », oratorio chanté à la cour de l’empereur d’Autriche Joseph Ier, au soir du Vendredi Saint 1706, relate, selon l’argument de l’oratorio » la joute oratoire qui oppose le Démon, à l’origine du péché originel et qui se réjouit de la mort du Christ, et la Mort elle-même, qui s’approprie à son tour l’origine de la mort du rédempteur… au beau milieu de cette dispute, intervient l’allégorie de la Nature Humaine qui pleure amèrement la mort de son Sauveur, mais est à son tour injurié et menacé par le Démon pour ne pas avoir été racheté de ses péchés. C’est alors qu’intervient la Foi qui parvient à confondre la maligne fausseté du Démon qui continue à ne pas croire à la valeur de la rédemption. Le débat semble trouver une issue avec l’intervention de l’Âme d’Adam qui, comme Père de tous les hommes, console la Nature Humaine de ses tourments…

Pour donner cet oratorio, avant de l’enregistrer en octobre (disque à paraître au printemps 2024), Les Traversées Baroques rassembleront dix huit musiciens et cinq chanteurs dont la plupart faisaient déjà partie de la distribution de « Il trionfo della morte », de Bonaventura Alioti, double CD publié par l’ensemble en 2020 et dont le propos, l’histoire d’Adam et Eve n’est pas sans similitudes avec l’oeuvre de Ziani.

Echange avec Judith Pacquier, directrice artistique des Traversées Baroques

Crédit photo : © Jean Pierre Delagarde – Centre des monuments nationaux

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La Saline Royale d’Arc-et-Senans inaugure sa nouvelle salle de spectacle en musique

C’est à l’occasion d’un « Grand Weekend », organisé les 15 et 16 septembre, que la Saline Royale d’Arc-et-Senans, inscrite au Patrimoine Mondial de l’UNESCO inaugurera sa nouvelle salle de spectacle et de congrès.

Deux concerts couronneront l’événement : d’abord, vendredi 15 septembre, avec Renaud Capuçon et l’Orchestre de Chambre de Lausanne (complet) et le lendemain samedi avec un ensemble instrumental réuni autour du violoncelliste Marc Coppet pour interpréter « L’histoire du soldat », de Stravinsky avec, pour récitant, le comédien Daniel Mesguich, et le « Quatuor pour la fin du temps » de Messiaen.

Explications de Laetitia Auphan, chargée de la saison culturelle de l’établissement…

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L’Orchestre Dijon Bourgogne fait sa rentrée avec Beethoven

C’est le vendredi 8 septembre que l’Orchestre Dijon Bourgogne donnera son concert de rentrée dans l’Auditorium de l’Opéra de Dijon sous la direction de Joseph Bastian.

Concert à haute portée symbolique, D’abord l’oeuvre choisie, la monumentale 9e Symphonie de Beethoven. Ensuite, parce qu’il s’agit de célébrer le 65e anniversaire du jumelage de la ville de Dijon avec la ville allemande de Mayence. Pour la circonstance, 18 musiciens de l’Orchestre d’Etat de Mayence rejoindront leurs collègues bourguignons. On n’oubliera pas non plus le traité franco-allemand signé il y a 60 ans par le Chancelier Konrad Adenauer et le Général de Gaulle, alors Président de la République.

Pour le 4e mouvement de la symphonie et la célébrissime « ode à la joie », on fera naturellement appel aux choeurs de l’Opéra de Dijon et à 4 solistes internationaux.

A noter aussi, et le fait est d’autant moins négligeable dans un climat parfois compliqué entre les deux grandes villes de Bourgogne-Franche-Comté et leurs institutions musicales, au lendemain du concert de Dijon, l’ODB renforcé donnera ce programme au Festival International de Musique de Besançon.

Avant ces concerts, échange avec le chef Joseph Bastian.

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76e Festival International de Musique de Besançon Franche-Comté

C’est le vendredi 8 septembre que commencera le Festival International de Musique de Besançon pour se poursuivre jusqu’au 23 septembre.

Seize jours de festival pour une trentaine de concerts principalement en divers lieux de Besançon mais aussi à Dôle, Lons-le-Saunier et Arc-et-Senans où on en profitera pour inaugurer une nouvelle salle de concert à la Saline Royale.

Si le genre dominant reste la musique symphonique, la musique de chambre, l’art vocal, les musique du monde et le jazz tiennent aussi leur place selon diverses formules allant du traditionnel concert en salle au concert gratuit en plein air.

Quant aux interprètes ils sont souvent européens sans pour autant négliger les formations régionales, à commencer par l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté, qui donnera le concert d’ouverture, ou l’Orchestre Dijon Bourgogne qui, avec dix-huit musiciens venant de la ville allemande de Mayence et du Choeur de l’Opéra de Dijon, viendra donner la neuvième de Beethoven, une grande première…

Particularité, et non des moindres, de cette édition 2023, la fin du festival se déroulera parallèlement au 58e concours de jeunes chefs d’orchestre, une sélection de vingt candidats participant aux épreuves finales du concours à partir du 18 septembre en espérant triompher le 23.

Echange avec Jean-Michel Mathé, directeur du Festival International de Musique de Besançon.

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