le festival « Les Nuits du Mont Rome« , sous une forme un peu réduite, se tient du 13 au 20 juillet.
Parmi les temps forts proposés par cette 24e édition, le concert Mozart donné par l’Orchestre Dijon-Bourgogne jeudi 19 juillet dans le Théâtre David, en plein air à Saint-Sernin-du-Plain. Avec en soliste le violoniste Nathan Mirdl, l’ODB sera dirigé par Joseph Bastian.
Avant ce concert au soleil couchant et un long périple musical riche de sens en Asie, Le chef Franco-Suisse répond aux questions de BFC Classique.
C’est devenu une tradition à La Cité de la Voix, de la deuxième semaine de juillet à la première semaine d’août, l’établissement du Conseil Régional de Bourgogne-Franche-Comté accueille quatre ensembles en résidence artistique.
Chacun à son tour et pendant une semaine, on travaille ses projets et on va à la rencontre du public en allant quotidiennement donner deux mini-concerts, d’abord en la Basilique Sainte-Marie-Madeleine, puis dans le jardin de la Cité de la voix.
Du 7 au 14 juillet, c’est la Compagnie Voy’elles Qu’on Sonne qui ouvre le bal.
Fondée en 2020, la compagnie Les Voy’elles qu’on sonne réunit trois chanteuses-comédiennes et un contrebassiste autour d’un répertoire éclectique, allant des chants traditionnels du monde aux airs de Purcell ou de Jacques Brel, le tout porté par des arrangements « maison ».
Echange avec Clémence Maucourant, l’une des trois chanteuses…
Avec, en « pré-ouverture » un concert jeune public le 7 juillet, le festival et l’académie d’été qui en est inséparable, se tiendront jusqu’au 22 juillet dans le village de Noyers-sur-Serein où tout concourt à un séjour aussi musical qu’idyllique.
Avec neuf concerts généralement organisés en soirée dans l’Eglise du village, c’est bien de « rencontres » qu’il s’agit tant l’échange est un maître mot dont la manifestation la plus évidente est l’organisation de cinq master classes permettant aux stagiaires de haut niveau de se frotter à la pratique de maîtres reconnus dont la pianiste Anne Queffélec est l’une des figures tutélaires présente à Noyers depuis l’origine, même si, cette année, elle a souhaité passer la main pour ne venir aux rencontres qu’à l’occasion d’un récital le 15 juillet.
Autre caractéristique de ces rencontres, la fidélité des professeurs, même si on s’écarte parfois sans pouvoir s’empêcher d’y revenir, tel le violoniste Régis Pasquier qui assurera le concert de clôture.
C’est du 6 au 11 juillet que se déroulera, à Cluny (Saône-et-Loire), la 23e édition du festival D’aujourd’hui à demain.
Consacré à la création musicale d’aujourd’hui, le festival, qui n’oublie pas la tradition, propose ainsi, sur six jours, huit concerts mettant à contribution le talent de quelques quarante deux musiciens de haut niveau.
Echange avec le violoncelliste Christophe Roy, directeur artistique du festival…
Du chant lyrique au chant africain, du rock au jazz, du sacré au profane, de la musique baroque au répertoire moderne, les chanteurs seront à l’honneur dans la 16ème édition du Festival Orgue en ville qui se déroulera du 2 au 7 juillet à Besançon, Devecey et Saint-Vit.
Avec 18 concerts gratuits, l’orgue est là dans tous ses états, bien loin de la tradition du récital conventionel et un peu figé comme on le pratique particulièrement en bon nombre d’églises une fois l’été venu, même si le genre n’est pas absent.
Echange avec Arnaud Carpentier, l’un des responsables du festival.
Même si l’on égale pas les festivals de Besançon (77e édition) ou Beaune (42e), le festival De Bach à Bacchus, organisé à Meursault, fait bien partie de ceux qui durent.
Pour sa 38e édition organisée du 4 au 11 juillet, on pourra écouter cinq concerts en soirée avec le Quintette à cordes de l’Orchestre Philharmonique de Berlin rejoint par le pianiste Yves Henry dans une soirée Schubert, La Petite Suite dans un Requiem de Mozart inattendu, la violoncelliste Camille Thomas et Yves Henry réunis autour de Chopin, tandis que l’Ensemble Artifices et ses drôles d’oiseaux ouvrira le festival que refermera Le Kaleid Brass (cuivres et percussions)…
Bien entendu, au sein des grands vignobles bourguignons, comment éviter les visites de caves, les dégustations, ou de partir « à la recherche du pinot perdu »…
Echange avec Moïse Mayo, président des Amis de la Musique à Meursault, association organisatrice du festival…
Du 22 juin au 28 septembre, le Château d’Ancy-le-Franc, dans l’Yonne, accueillera le traditionnel festival Musicancy, 8 concerts organisés dans la Cour d’Honneur du Château ou dans les salles de l’étage « noble », sur le thème de la musique baroque italienne et ses diverses influences.
C’est l’ensemble La Nébuleuse, dirigé par le théorbiste Gabriel Rignol qui ouvrira le festival, un festival qui se refermera 3 mois plus tard avec le claveciniste Benjamin Alard et son ensemble. entre temps, on aura écouté Sébastien Daucé ou Amandine Beyer en passant par Pierre Gallon ou Myriam Rignol sans oublier le tour de chant inattendu de la mezzo-soprano Lucile Richardot dans un hommage au Paris des poètes de la Belle Époque à l’Après-Guerre.
Concerts, rencontres, dialogues impromptus et découvertes musicales… Echange avec Fannie Vernaz, présidente et directrice de Musicancy.
C’est en grande formation (chœur, instruments et solistes) que Le Songe du Roi terminera sa saison « Musiques aux cordeliers » samedi 8 et dimanche 9 juin dans l’Eglise Saint-Joseph de Dijon avec un programme Marc-Antoine Charpentier.
Si l’on jouera le Te Deum qui vaut beaucoup plus que son introduction popularisée par la télévision, on entendra aussi 2 pièces moins connues : Le motet à 5 voix « Transfige Dulcissime Jesu » et le « Reniement de Saint-Pierre ».
Présentation avec le claveciniste Patrick Heilmann, créateur et directeur musical du Songe du Roi…
Après une édition 2023 marquée par l’arrivée d’une nouvelle équipe sur fond de rupture pas tout à fait cicatrisée, l’expression « Haut-Jura » fait son retour dans le nom même du festival, façon de marquer une continuité avec les intentions des créateurs de la manifestation, en affirmant tout autant le renouveau et la détermination d’aller vers des publics souvent éloignés des lieux de concerts.
C’est donc le trente neuvième Festival de Musique du Haut-Jura qui se tient dans la région de Saint-Claude du 29 mai au 9 juin, organisé autour de deux week-ends, l’un largement animé par l’ensemble dijonnais Les Traversées Baroques avec le concert d’ouverture dans la Cathédrale de Saint-Claude le 31 mai et le second confié à Il Caravaggio. Entre les deux, une « caravane musicale et une série d’interventions dans des lieux plus confidentiels, des randonnées musicales, un bal renaissance participatif, un petit déjeuner en musique ou un concert à la bougie…
Ne nous y trompons pas, malgré son nouveau titre, c’est bien le Festival Besançon-Montfaucon qui continue et c’est ainsi que le Festival La Via Musica peut annoncer sa dix neuvième édition.
Pour son millésime 2024, le festival se déroulera en deux époques, la première du 29 mai au 2 juin et la seconde au mois d’Août avec chacune son lot de surprises.
C’est ainsi que le festival s’ouvrira par une master classe donnée, le 29 mai, dans l’auditorium de la Cité des Arts de Besançon par l’immense claveciniste Tom Koopman, musicien de légende que l’on pourra entendre dès le lendemain en concert en compagnie de Tini Mathot, son épouse, pour l’Art de la Fugue de Jean-Sébastien Bach.
Pour la seconde période, du 21 au 25 août, le festival nous emmènera vers l’Indonésie, sans perdre pour autant de vue les musiques d’ici.
Ouverture vers d’autres cultures et retour à une pratique historicisée de la musique, multiplication des lieux de concert pour mieux aller à la rencontre de tous les publics, échange avec le pianiste et claveciniste Arthur Schoonderword, créateur et directeur artistique du festival…
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